Help Cela ne peut continuer
Lu sur le forum Skynet Belgique :
"Un supermarché de la souffrance
Des centaines de chiens et de chats, mais aussi d’autres animaux, de ferme ou exotiques croupissent, derrière des vitrines, dans des box étroits. Tous sont en perdition. Certains tentent désespérément d’accrocher le regard d’un acheteur. La plupart d’entre eux sont profondément affligés. Malades ou ne tardant pas à le devenir, ils se retirent petit à petit de l’existence. Le sommeil est leur ultime refuge. Comme une insulte de plus à la vie, cette animalerie offre « les promotions de la semaine » et « les bonnes affaires ». C’est vrai que devant la loi, les animaux sont des meubles. Pourquoi ne pas en profiter… Nous estimons qu’au moins 500 chiots y sont vendus chaque semaine ! Muriel continue de « faire son marché » en désignant un petit bouledogue malade. La vendeuse refuse. Elle affirme qu’il est déjà vendu, comme tous les animaux malades ou mourants que nous tentons d’acheter.
L’envers du décor
Tout à coup notre enquêteur sort. Son intuition et sa ténacité sont récompensées. Il surprend l’arrivée des camions tchèques et hongrois. Il filme. Les bébés, exténués par de longues heures de transport, sont déchargés comme des marchandises, attrapés par une patte ou par la tête. Les revendeurs avides tentent d’acheter les animaux à la sortie même du camion. C’est ainsi que nous avons pu acheter Shangaï, un petit chow-chow âgé de moins de huit semaines. Puis les vétérinaires véreux font leur sale travail. Après avoir été vaccinés avec la même seringue, les animaux repartent avec nous et avec des carnets de santé falsifiés. Dès notre arrivée en rance, un vétérinaire honnête les examine. La scène est filmée par l’équipe de France 5. Lilas, Stella, Arthur et les autres portent les traces irréfutables de leur origine et de leur vie misérable. Tous ces petits rescapés ont été adoptés, soignés et réconfortés.
La filière des sales combines
Le trafic des chiots et des chatons prolifère comme une maladie. Ce commerce illicite est devenu une véritable industrie qui exploite au maximum de très jeunes animaux. Ils savent que les bébés sont préférés aux adultes. Les traficants comptent sur l’ignorance du public et les achats souvent compulsifs en animalerie. Plus les animaux sont petits, plus ils sont craquants ! La Belgique et l’Espagne, où la réglementation est laxiste, font la fortune des trafiquants. Les chiots et les chatons en provenance des pays de l’Est passent par des sites de transit comme l’animalerie où One Voice a enquêté, avant de repartir pour la France. Mais les autorités sont complaisantes. Des milliards d’euros sont en jeu. Tout est permis.
"Animal Express, où d'autres animaux exotiques s'entassent dans des cages, souvent en violation des règlements de la CITES. Nombreux aussi sont les captifs présents dans les cages qui attrapent la maladie de Carré ou qui souffrent d'autres affections"
"" La banlieue bruxelloise, une zone industrielle, puis une impasse.
Au bout de l’impasse, une activité discrète mais fébrile, celle des trafiquants brassant beaucoup d’argent. Et le silence lourd, celui de centaines d’animaux écrasés par la souffrance.
C’est un jour ordinaire pour cette animalerie de façade. En vérité, un site de transit au centre d’un trafic de chiots et de chatons importés des pays de l’Est et déversés par milliers sur la France. One Voice a filmé là, en caméra cachée.
Import-export d’êtres vivants
La Belgique bat le record de trafics en tous genres. Drogue, prostitution, trafic d’animaux de compagnie. Pendant plusieurs semaines, nuit et jour, One Voice a surveillé une animalerie, sans doute l’une des plus grandes d’Europe, servant de plaque tournante à une vaste organisation de trafiquants de chiots et de chatons importés des pays de l’Est.
Chaque année, plus de 100 000 animaux entrent ainsi illégalement sur notre territoire. Venant des pays où sévit encore la rage, ces animaux devraient avoir au moins six mois pour être vendus en France. Mais, au mépris des règles, ils sont revendus bien en dessous de cet âge à des animaleries et des éleveurs français. "
On devrait trouver un moyen pour faire fermer ce genre d'établissement ou ces importations peut être en prenant pour cible 1 magasin à la fois?
Qu'en pensez vous?
"Un supermarché de la souffrance
Des centaines de chiens et de chats, mais aussi d’autres animaux, de ferme ou exotiques croupissent, derrière des vitrines, dans des box étroits. Tous sont en perdition. Certains tentent désespérément d’accrocher le regard d’un acheteur. La plupart d’entre eux sont profondément affligés. Malades ou ne tardant pas à le devenir, ils se retirent petit à petit de l’existence. Le sommeil est leur ultime refuge. Comme une insulte de plus à la vie, cette animalerie offre « les promotions de la semaine » et « les bonnes affaires ». C’est vrai que devant la loi, les animaux sont des meubles. Pourquoi ne pas en profiter… Nous estimons qu’au moins 500 chiots y sont vendus chaque semaine ! Muriel continue de « faire son marché » en désignant un petit bouledogue malade. La vendeuse refuse. Elle affirme qu’il est déjà vendu, comme tous les animaux malades ou mourants que nous tentons d’acheter.
L’envers du décor
Tout à coup notre enquêteur sort. Son intuition et sa ténacité sont récompensées. Il surprend l’arrivée des camions tchèques et hongrois. Il filme. Les bébés, exténués par de longues heures de transport, sont déchargés comme des marchandises, attrapés par une patte ou par la tête. Les revendeurs avides tentent d’acheter les animaux à la sortie même du camion. C’est ainsi que nous avons pu acheter Shangaï, un petit chow-chow âgé de moins de huit semaines. Puis les vétérinaires véreux font leur sale travail. Après avoir été vaccinés avec la même seringue, les animaux repartent avec nous et avec des carnets de santé falsifiés. Dès notre arrivée en rance, un vétérinaire honnête les examine. La scène est filmée par l’équipe de France 5. Lilas, Stella, Arthur et les autres portent les traces irréfutables de leur origine et de leur vie misérable. Tous ces petits rescapés ont été adoptés, soignés et réconfortés.
La filière des sales combines
Le trafic des chiots et des chatons prolifère comme une maladie. Ce commerce illicite est devenu une véritable industrie qui exploite au maximum de très jeunes animaux. Ils savent que les bébés sont préférés aux adultes. Les traficants comptent sur l’ignorance du public et les achats souvent compulsifs en animalerie. Plus les animaux sont petits, plus ils sont craquants ! La Belgique et l’Espagne, où la réglementation est laxiste, font la fortune des trafiquants. Les chiots et les chatons en provenance des pays de l’Est passent par des sites de transit comme l’animalerie où One Voice a enquêté, avant de repartir pour la France. Mais les autorités sont complaisantes. Des milliards d’euros sont en jeu. Tout est permis.
"Animal Express, où d'autres animaux exotiques s'entassent dans des cages, souvent en violation des règlements de la CITES. Nombreux aussi sont les captifs présents dans les cages qui attrapent la maladie de Carré ou qui souffrent d'autres affections"
"" La banlieue bruxelloise, une zone industrielle, puis une impasse.
Au bout de l’impasse, une activité discrète mais fébrile, celle des trafiquants brassant beaucoup d’argent. Et le silence lourd, celui de centaines d’animaux écrasés par la souffrance.
C’est un jour ordinaire pour cette animalerie de façade. En vérité, un site de transit au centre d’un trafic de chiots et de chatons importés des pays de l’Est et déversés par milliers sur la France. One Voice a filmé là, en caméra cachée.
Import-export d’êtres vivants
La Belgique bat le record de trafics en tous genres. Drogue, prostitution, trafic d’animaux de compagnie. Pendant plusieurs semaines, nuit et jour, One Voice a surveillé une animalerie, sans doute l’une des plus grandes d’Europe, servant de plaque tournante à une vaste organisation de trafiquants de chiots et de chatons importés des pays de l’Est.
Chaque année, plus de 100 000 animaux entrent ainsi illégalement sur notre territoire. Venant des pays où sévit encore la rage, ces animaux devraient avoir au moins six mois pour être vendus en France. Mais, au mépris des règles, ils sont revendus bien en dessous de cet âge à des animaleries et des éleveurs français. "
On devrait trouver un moyen pour faire fermer ce genre d'établissement ou ces importations peut être en prenant pour cible 1 magasin à la fois?
Qu'en pensez vous?
Réponses
Ils devraient un peu plus se soucier de ce problème en France plutôt que d'euthanasier à tour de bras des chiens innocents car beaucoup de chiens mordeurs sont déjà issus de ce type de traffics ou la psychologie et le bien être du chien sont plus que secondaires
Entretemps, je rechercherai les organisations telle que "one Voice" ou autres pour essayer de faire des campagnes pour erradiquer ces gens.
Mais j'ai tellement mal
bon j'arrete la sinon j'vais m'emballer ....
mais que faire il y aura toujours des salops pour se faire du fric sur le dos de ces pauvres betes
http://www.gaia.be/ned/downloads/AeP.pdf
Valable pour la France comme la Belgique
Moi les animalerie que je frequente en belgique sont bien...
J'ai juste été chez HUMBLET alors là jsui ressorti prete a pleurer, ils avaient des chat qu'il vendaient 5 euros, atteind du coriza... niveau oiseaux alors là c'est le pire ils avaient des cherdonneret alors ke c TOTALEMENT interdit!!!
Ils avaient un ara ararauna, mon reve, le pauvre vivait au milieu des moucheron... les gris du gabon ( comme ma mistille) été tout deplumé, tout piqué, les rosalbin alors là un vrai poulet! enfin bref inadmissible!!!
Sinon animal loisirs son trés trés bien, ya aussi animal confort, qui sont bien euhh a verviers aussi yen a une mais je sais plus le nom, animal concept je crois, là ils sont bien aussi... mai humblet eux il battent tout!!
il va y avoir des mesures très importantes :interdiction d'exposition et de détention de chiens en animalerie à partir de janvier 2009.tu peux aller sur le site wwww.univers-nature.com il y a un article détaillé sur la question.
Bravo les Belges!
http://www.animaux-familiers.org/index.html
Bcp d'informations à trouver
De toutes façons traffics ou pas en ce qui concerne les animaleries je pense qu'un bébé ne devrait quitter sa mamn que le jour ou il rejoint sa nouvelle famille et non se retrouver derrière des vitres ou des grilles
A notre niveau nous pouvons faire passer le message autour de nous, c'est déjà beaucoup et inciter les gens à adopter des animaux abandonnés.
Il faudrait une volonté politique très forte pour que ces trafics cessent !!!
Non, non, non.........je suis désolée de dire ça mais AUCUNE ANIMALERIE n'est bien :twisted: , elles alimentent TOUTES le traffic......il faut arrêter de penser ça. Ce n'est pas en véhiculant ce genre de message que l'on ferra comprendre aux gens qu'il ne faut pas acheter dans ces magasins.
Ce post a été créé pour alerter sur ce genre de commerces et pas pour leur faire de la pub....